lundi 15 avril 2019

Thaïlande 7, de Lampang vers Sakon Nakhon, puis retour à Bangkok (+Ayutthaya)



Nous quittons Lampang pour rejoindre le Centre des Eléphants

 à 30km sur la route vers Chiang Mai.

Premier arrêt à un hôpital privé pour éléphant



la taille d'un éléphant nouveau-né
La pollution est toujours importante !

Ici transitent les éléphants,
 blessés le plus souvendans la jungle par des mines antipersonnel .


Il est l’initiative d’une femme thaï : Soraida Salwala, qui, à l'âge de 8ans, a assisté durant 3 jours à l'agonie d'une éléphante percutée par un camion. 


 Elle s’est ensuite juré de consacrer sa vie aux soins pour les éléphants blessés.


La fondation Brigitte Bardot aide financièrement chaque année cette association (<2007).

lettre de Brigitte Bardot


Actuellement il y a dans le centre 5 éléphants internes et 3 externes (pour soins).

sont exposées les vieilles prothèses

Ils possèdent 2 vétérinaires à demeure et un atelier de fabrication de prothèses

inspirés des prothèses humaines: mêmes matériaux, mêmes techniques.

Une prothèse doit être remplacée une à deux fois par an tant que l'animal grandit 
(soit jusqu'à l'âge de 20 ans) pour s'adapter parfaitement à la patte.

Dans le premier enclos, Mosha, une éléphantesque de 13 ans, qui à l’âge de 7 mois, 
a eu le pied déchiqueté par une mine.
Mosha lors de son accident, à 7 mois

 Elle a reçu ici les soins nécessaires à sa survie mais comme elle était jeune,
 elle a développé un syndrome de stress post-traumatique ...


avec comme conséquence :
 un comportement vite agressif et surtout un attachement très fort à son cornac; 
quand il est pas près d’elle...elle pleure toute la nuit...

Mosha et son cornac

En conséquence, son cornac a sa maison attenante à son enclos 
et ne l’a pas quittée depuis 4 ans...

Elle porte une prothèse plusieurs heures/jour 
(pas en continu car avec les frottements et l’humidité, les plaies apparaissent vite).

L’enclos suivant héberge Motala, une éléphante de 59ans,



 elle porte aussi une prothèse à cause d’une mine;
 elle travaillait en Birmanie au « logging » (transport de troncs dans la forêt); 
son cornac l’a laissé gambader dans la forêt (la Birmanie a subi 50 ans de guerre civile)... et elle a marché sur une mine !!!

Nous visitons une troisième éléphante 

Elle soulage souvent le poids de sa patte sur une rambarde

qui a elle aussi été blessée par une mine, avec 2 doigts perdus sur sa patte avant droite.




Nous avons la chance de lui donner des bananes...elle adore ...🥰 ...



et témoigne à Bernard des élans de tendresse !








Il existe 6 hôpitaux pour éléphants dans toute la Thaïlande.

Nous rejoignons ensuite le Thaï Éléphant Conservation Centre, distant de 1km, qui appartient à l'Etat;
une trentaine d’éléphants y résident.

Nous faisons d’abord connaissance avec eux, 
avec la possibilité de leur donner bananes ou canne à sucre.

On observe qu’ils sont dressés à plein de choses...
si au lieu d’une banane, on leur donne un billet de 20 bahts...
 l’éléphant le transmet directement à son cornac...


et si on pose devant eux, ils mettent aussitôt la trompe en salut...

Assister au bain des éléphants est toujours un régal pour les yeux.



Les cornacs restent dessus et font tout ... pour ne pas être mouillés... !


A la fin de la baignade, certains éléphants espiègles viennent asperger les spectateurs...



Ensuite, au son cadencé du tambour,


en route vers le show 




le show commence invariablement par l’hymne national Thaï 


avec cornac et éléphant au garde-à-vous!

Le show nous présente le travail demandé aux éléphants dans les chantiers de logging (actuellement interdits par la loi, mais encore pratiqués illégalement
 dans certains régions reculées du pays)


Pour ce travail, les éléphants sont harnachés 
(pour passer la bride sous son ventre,
 c’est l’éléphant avec sa trompe qui aide le cornac, resté à califourchon...)

ils savent déplacer les troncs au sol
vers l'avant


vers l'arrière


 en les portant sur leurs défenses


les empiler


On les attelle pour tirer des troncs avec des chaînes...



Parfois ils sont deux à tirer...



Quand le cornac descend, l’éléphant redresse une patte comme marchepied !


Ils sont également dressées à montrer leur "plante de patte"


Ils savent très bien utiliser un robinet quand ils ont soif


Si le cornac laisse tomber son crochet, l'éléphant le lui ramasse

On assiste ensuite à un lancer de ballon  ...



Le spectacle se termine sur une note artistique... le cornac met les différentes couleurs sur les différents pinceaux et c’est l’éléphant qui saisit le pinceau et dessine sur un chevalet...



le résultat est assez bluffant :



Les peintures sont à vendre  à la boutique du parc pour une quinzaine d'euros.


certaines démonstrations peuvent donner l'impression d'être au cirque ...
...quand on leur demande de mettre le chapeau sur la tête du cornac !

Une très chouette visite tout de même.

PS: Les éléphants sont sensibles à certaines ondes de basse fréquence, 
comme lors du tsunami de 2014 :
au moment précis où s'est déclenché le séisme sous-marin, les éléphants de la station de Khao Lak, (près de Phuket en Thaïlande), se sont mis à  pleurer.
 Ils se sont toutefois calmés et
 ont laissé monter sur leurs dos les touristes qui avaient payé la promenade . 
Mais les mammifères n'ont pas voulu écouter les ordres des cornacs:
 obéissant à leur instinct de survie, ils ont pris le chemin des collines. 
Et quand la vague a déferlé, les touristes partis avec eux ont eu la vie sauve.
 Les autres éléphants qui n'étaient pas en service ce jour-là ont brisé leurs chaînes pour gagner eux aussi les collines.

Nous repartons visiter un temple au sud de Lampang, entouré d’une muraille.



on retrouve le mini-téléférique qui monte au Stupa






comme en Birmanie












 
de belles vieilles peintures

la température dans Tatouche est telle 

que nous privilégions les hôtels ou guest-houses !

Une fois, nous "passons" (le mot est juste !)... dans un hôtel propre et correct... 
certes pas cher...
pas de fenêtre dans la chambre (?)... 
...un emplacement garage et portail qui cache la voiture...(?)

et dans les fournitures de toilette...une capote !!! 
étrange hôtel pour couples illégitimes ???


Nous repartons vers l'Est du pays, toujours avec nos masques à cause des feux


 arrêt au barrage sur la Nan river.





Passage à Phu Ruea, village situé à 1300m d'altitude
 où nous assistons à notre première petite averse depuis 3 mois !

Nous nous arrêtons au bord d'un petit lac: le Ban Huai Krathing;



le niveau de l'eau est assez bas en ce moment.

L'endroit est réputé pour sa flotte de radeaux qui peuvent y être  loués:
on passe sa commande auprès des resto locaux et 
des bateaux emmènent votre radeau au centre du lac. 
(s'il vous manque un dessert: un coup de fil, votre n°de radeau et on vous l'emmène)

Le silence, le cadre, le calme, l'idéal pour se baigner, buller, se prélasser...

Nous installons Tatouche face aux radeaux pour un arrêt relaxant.



Un petit vent fait germer l'idée d'un vol...???


mais il n'y a pas de terrain de déco propice

alors Bernard embarque son aile et son moteur et part sur la berge en face...


Sur la rive opposée, les abords de la rive sont vaseux et mous...
Bernard qui saute prestement sur la berge se retrouve enfoncé jusqu'aux genoux !


le vent tourne en permanence...il faut trouver un autre déco...on se déplace 1 fois de +

finalement, Bernard installe l'aile et se lance...


  
et décolle



...petit vol sur le lac ...





 atterro 
                        
et retour



Nous passons par Loei et rejoignons Chiang Khan à la frontière avec le Laos
(donc sur le Mékong).

Chiang Khan est une petite bourgade très sympathique; 

déjà parce qu'elle est sur le Mékong,
mais elle possède également une longue promenade aménagée tout le long du fleuve, 





idéale pour la promenade au coucher du soleil,


+ une rue commerçante très animée, transformée en rue piétonne le soir.



Nous prenons  une chambre avec terrasse sur le fleuve et y passons 2 jours.

Deux jours plus tard nous reprenons Tatouche pour 160km de route qui longe le Mékong.




 Une belle grande route avec de belles vues sur le fleuve.


Question subsidiaire: savez-vous où est la frontière entre le Laos et la Thaïlande ?

-au milieu du fleuve, nous direz-vous...

-eh bien non: le fleuve appartient au Laos, en tout cas tout ce qui est navigable !
et dépasse 30cm de profondeur...
un cadeau des français qui à l'époque ont privilégié l'Indochine...
cela signifie aussi que toutes les îles sur le fleuve appartiennent au Laos !
nous passons en face de Vientiane, capitale du Laos, adossée au Mékong

Nous arrivons à Nong Khai
 au bord du Mékong et nous installons dans une jolie guest-house au bord du Mékong,
 en plein centre ville mais au calme avec jardin ombragé 
et grande terrasse face au fleuve.

Nous y restons 2 jours, histoire de profiter de la magie du lieu.

Le matin, nous partons visiter le temple Wat Khaek,

les étrangers paient systématiquement plus chers que les locaux

 Ce temple est la réalisation d’un Laotien



qui a construit un parc identique à Vientiane (le Bouddha Park) et qui après son expulsion du Laos s’est installé ici pour y construire un autre temple toujours à mi-chemin entre l’hindouisme et le bouddhisme.



Dans un jardin, des statues étranges, certaines gigantesques,
mélange de monstres et d’hommes !








La dépouille momifiée de ce gourou mystique est exposée au deuxième étage, sous une cloche de verre...






La sécurité est telle en Thaïlande, que les scooters ont souvent leur clef en place...!

Nous visitons ensuite le temple immergé de Phra That La Nong, qui siège au milieu du Mékong, 


Le temple est sous le drapeau orange
résistant au courant du fleuve, 



Il était construit sur la rive thaïlandaise
 avant que le lit du fleuve ne s’élargisse à son état actuel.


On peut y acheter des poissons, anguilles, tortues et les relâcher dans l’eau
 en guise d’offrande.
des tortues, poissons, anguilles dans des bocaux, attendant leur liberté

les rampes de lancement de la Liberté


Nous visitons ensuite le temple de Wat Po Chai,
les toits des temples sont souvent des merveilles architecturales

il est connu pour son Bouddha dont la tête est en or et la coiffe ornée de rubis.



un arbre à billet...

A 15km du centre, nous partons visiter une distillerie perdue dans la campagne ...
Distillerie Issan


tenue par un français;  David est niçois d’origine, il est arrivé ici il y a 8 ans, 



après une vie professionnelle et stressante à Paris dans la finance (Capital-risques).


Il a décidé de monter ici une distillerie et produire son rhum agricole, 
(Attention: le rhum est issu de la mélasse, le rhum agricole est issu du jus de canne)
à l’image des distilleries antillaises; 

sa distillerie est artisanale et respecte les règles de qualité:
pas de traitement des cannes, pas de super-rendement à l’hectare, on coupe le jour même ce qu’on peut traiter dans la journée, une main d’oeuvre locale (et non pas une mécanisation à outrance).
Particularité: les cannes sont écorcées une à une par une dizaine de travailleuses manuelles afin de ne garder que le centre, un bâtonnet riche en jus

 800 litres de jus sont produits chaque jour avec une petite machine manuelle



Les cuves de 400l de jus frais sont ensemencées de levures



et laissées pour fermentation pendant 2jours et 1/2 



puis passent dans l’alambic permettant de récupérer 20l de rhum agricole par distillation (2cycles de distillation par 24h).


Le rhum est ensuite laissé pendant un an pour maturation dans une cuve 
avant la mise en bouteilles.

Il produit actuellement 8.000 bouteilles par saison (la saison de production dure 4mois) qu’il vend soit en Thaïlande, soit à l’exportation pour la France.

David dégage une chaleur naturelle et sympathique, 
nous expliquant la réalisation de son rêve. 
Il pourrait être plus rentable dans son entreprise mais une partie de son bonheur est représentée par ces gens qui vivent grâce à lui (25 personnes) et bénéficient ainsi de l’assurance maladie.
Le profit comme objectif n’est vraiment pas son truc et cela fait plaisir de rencontrer des gens à l’éthique intacte dans une société mondialisée axée sur le pognon...une belle rencontre !

Il nous fait goûter 2 délicieux Tipunch...

que Colette réquisitionne... puisque Bernard conduit !

Son ti-punch paraît plus léger (ce qui est normal puisque l’alcool en Thaïlande ne peut légalement dépasser 40° / un rhum agricole en France atteint facilement 55°).

Retour à l’hôtel et dégustation de délicieux rouleaux de printemps sur la promenade le long du fleuve



Sur le Mékong, de nombreux bateaux-restaurants sur la rive 



Nous partons vers le Sud avec un arrêt à "la Table du Chef",
 délicieux restaurant d'Udon Thani (n°1)

puis arrêt au lac au lotus roses.

PS: le lotus est une plante qui apparaît dans de nombreuses préparations culinaires
en vente sur les marchés
ce lac s'appelle le lac Talay Buadaeng


De décembre à mars, le lac se couvre de fleurs de lotus roses, 
donnant sa teinte colorée rose à sa surface.


Nous embarquons à 7h sur un petit bateau pour 1h30 de promenade sur l'eau.



Les fleurs de lotus s'ouvrent le matin  puis se ferment pour la nuit.


Nous naviguons sur le lac en direction des champs de lotus, accompagnés de martinets,
 qui se nourrissent des insectes en profitant de la vague du bateau.













Retour à l'embarcadère pour petit déjeuner; un petit vent s'est levé...

Bernard se demande si les lotus sont visibles du ciel...
 comme un nuage de petites tache roses sur l'eau ? 


Mais après le survol du lac, le rose ne tranche pas vraiment...

on aperçoit les bateaux pour 2 personnes (barque allongée) ou pour 5 personnes (toit bleu)

Départ vers le temple de Khamchanod, un des temples les plus vénérés en Thaïlande, 

l'offrande type, tressée en roseau



Dévotion ++ depuis qu'un moine de ce temple, en lisant dans les racines d'un arbre, 
a décrypté les numéros...qui l'ont fait gagner au loto !


du coup, les vendeurs de billets de loterie sont légions


Tout le monde afflue ici pour faire des offrandes et observer les racines...
c'est littéralement bondé.


Ensuite nous partons visiter le temple Mai Ban Tan qui, lui, est quasi désert.



Tout neuf, avec les alentours encore en aménagement.




Nuit dans un hôtel à 20km de Baan Sanok, que nous rejoignons le lendemain.

Baan Sanok est l'hôtel de Robert et Salinee, 

Robert et Salinee
ils sont notre contact pour nous garder Tatouche pendant 7mois.

Robert est hollandais,
Robert
 cousin de Nic (le mari de Claudie, une grande amie de Colette);
  ils ont ouvert ici, il y a 2 ans, un hôtel grand confort avec piscine.




 Ils ont accepté de nous stocker Tatouche dans un coin de leur propriété jusqu'à octobre !
😊  merci Robert et Salinee

Robert travaille encore en Europe, mais passe une grande partie de son temps ici, 
dans un cadre de vie tellement plus agréable...!
Il conseille ses hôtes sur les excursions à faire dans les alentours
 et est aux petits soins pour eux, et pour nous.


Nous prenons une chambre pour 5 nuits, 
et bénéficions de temps pour faire nos bagages et profiter de l'endroit.

Les préparatifs de bagage battent leur plein, entrecoupés de baignades; 
nous profitons des scooters de Robert pour manger au resto du coin.

On sent ici les préparatifs de Songkran..., la fête du Nouvel An Bouddhique.
Cette fête est fixée chaque année entre le 12 et 15 avril.

L'idée est un acte de respect envers les aînés
 en leur versant un peu d'eau parfumée sur les mains;
çà, c'est le point de départ... qui a sacrément évolué... 
dans toutes les gammes d'âge...

ceci est filmé 2 jours avant le début des festivités

Songkran donne lieu à des gigantesques batailles d'eau dans les rues des villes.

Pendant ces jours-là, on est quasi sûr de se faire asperger...

mais plus gênant, 
le fait d'être saoûl devient la règle et tout le monde se torche et picole (bière et Whisky),
 ...et conduit !

Un automobiliste sur la route est forcément suspect ...
et les accidents de la route sont multipliés par trois pendant ces quelques jours !

Nous avons circulé en scooter sur des petits chemins et des jeunes thaïs nous attendaient avec des seaux d'eau sur le bord pour nous asperger à notre passage.

Robert nous dépose à l'aéroport de Sakon Nakhon; 1H de vol vers Bangkok.


De là, taxi vers Ayutthaya. 



nous n'avions pas visité les ruines de cette ancienne capitale du royaume de Siam 
lors notre remontée avec Tatouche 
"trop touristique" d'après le guide...
mais comme nous avons 2 jours de temps libre !

Colette réserve au Guest-house Tamarind, à 100 mètres du parc historique...
le top, car on s'y rend à pied

Ayutthaya, ancienne capitale Siam, a été détruite par les Birmans en 1767, 
avec 400 temples  inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco

PS: En Thaïlande, les entrées des parcs et attractions sont souvent payantes,
 mais le prix est souvent double pour les étrangers


Nous partons visiter le plus ancien des temples d'Ayutthaya, le Wat Phra Mahathat, 


ce temple est réputé pour un arbre qui enserre une tête de Bouddha dans ses racines.

Au moment de la chute d'Ayutthaya et sa mise à sac par les Birmans, tous les Bouddhas de pierre furent décapités...


un banian abrite dans ses racines une tête de Bouddha 
(qui aurait roulée pour s'intégrer dans l'arbre !)
Cet arbre est vénéré par les moines.

Le lendemain, nous louons des vélos et partons visiter d'autres temples:

Le Wat Ratchaburana, assez bien conservé


des arbres arrivent à pousser dans des anfractuosités





Le Wat Phra Si Sanphet, très imposant avec ses 3 chedis en enfilade


la chemise à fleur est LA tenue de Songkran

Le Phra Mongkhon Bophit, situé juste à côté du précédent,
 il abrite un des plus grands Bouddhas en bronze du pays.



Le Wat Lokayasutha, où l'on peut admirer un énorme Bouddha couché

 42m de long, 8m de haut

pas fréquent 

De nombreux touristes visitent une partie du parc en éléphant, juchés dans une nacelle,

mais avec la mauvaise réputation des mauvais traitements infligés aux animaux, 
nous ne l'envisageons même pas...


vive le vélo !

les éléphants sont "tunés" pour Songkran

Notre bilan de Songkran: nous nous attendions à être arrosés/noyés par la population...
mais finalement on s'en sort bien:

-1 petit garçon de 6 ans au bord de la route, nous avisé avec son pistolet à eau...mais le jet d'1,50m nous a plutôt fait sourire

-2 seaux d'eau jetés par des ados directement sur nous lorsque nous étions en scooter

-1 éléphant qui a aspergé Bernard par surprise 

On a constaté que la grosse occupation à Songkran est de sillonner les rues de la ville en pick-up dans lequel on installe une piscine gonflable remplie d'eau (servant de munition)
et on asperge tout ce qui passe près du pick-up, au seau ou au fusil à eau, alterné avec de la farine (mélange garanti...!)
Retour en Taxi sur un hôtel proche de l'aéroport international de Bangkok...
nous rentrons sur Marseille après 3 mois d'Asie !

Reprise de Tatouchestory.blogspot.com en octobre 2019


Bonnes vacances !

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