Choeung Ek était le principal lieu d'exécution et charnier des prisonniers du régime des Khmers rouges,
Des camions apportaient ici leur cargaison de prisonniers à exécuter, de 1975 à 1979.
Rendu célèbre par le film « Killing Fields » (la déchirure)
ce camp d’extermination fut exploité pendant 3 ans par les Khmers rouges.
Il s’agit d’un ancien cimetière chinois reconverti en 129 fosses communes.
C’est ici que les prisonniers, torturés à Tuol Sleng, étaient acheminés en camion pour être exécutés.
Ils arrivaient les yeux bandés, poignets attachés dans le dos.
On vérifiait les listes, ils étaient "stockés" sous un hangar et acheminés au fur et à mesure au bord des fosses.
Pour ne pas gaspiller les munitions, ils étaient massacrés avec toutes sortes d’outils agricoles,
des haut-parleurs diffusaient des chants patriotiques pour couvrir les cris des victimes.
Une fois tombés dans la fosse, les corps étaient saupoudrés d’insecticide (DDT), pour limiter la puanteur et achever les agonisants.
Dans les fosses communes,
des hommes, certains décapités (lorsqu’ils étaient considérés comme des traîtres),
des femmes déshabillées et violées,
des enfants.
Les bébés étaient fracassés contre un tronc d’arbre (le Killing tree).
expliquant selon le trauma crânien, l’outil utilisé pour le fracasser
C'est un lieu qui donne froid dans le dos, mais
«Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre», Winston Churchill.
Des camions apportaient ici leur cargaison de prisonniers à exécuter, de 1975 à 1979.
Rendu célèbre par le film « Killing Fields » (la déchirure)
ce camp d’extermination fut exploité pendant 3 ans par les Khmers rouges.
Il s’agit d’un ancien cimetière chinois reconverti en 129 fosses communes.
le carré représente le Stupa; les petits rectangles, les fosses |
C’est ici que les prisonniers, torturés à Tuol Sleng, étaient acheminés en camion pour être exécutés.
Ils arrivaient les yeux bandés, poignets attachés dans le dos.
la visite se fait avec un audioguide |
On vérifiait les listes, ils étaient "stockés" sous un hangar et acheminés au fur et à mesure au bord des fosses.
ce palmier a des feuilles sur le tronc qui présentent des aspérités comme une lame de scie |
dures comme de l'acier, elles pouvaient servir à trancher la gorge des détenus |
Pour ne pas gaspiller les munitions, ils étaient massacrés avec toutes sortes d’outils agricoles,
un abri pour stocker les "outils" de massacre |
des haut-parleurs diffusaient des chants patriotiques pour couvrir les cris des victimes.
Une fois tombés dans la fosse, les corps étaient saupoudrés d’insecticide (DDT), pour limiter la puanteur et achever les agonisants.
Dans les fosses communes,
des hommes, certains décapités (lorsqu’ils étaient considérés comme des traîtres),
des femmes déshabillées et violées,
des enfants.
Les bébés étaient fracassés contre un tronc d’arbre (le Killing tree).
des bracelets commémoratifs sont accrochés sur le tronc |
sur le site, des dents; en veux-tu ? en voilà... |
Un énorme Stupa
abrite
des centaines de crânes
sur des étagères,
expliquant selon le trauma crânien, l’outil utilisé pour le fracasser
(pioche, machette, marteau...)
poignets attachés dans le dos |
«Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre», Winston Churchill.
Votre visite du Cambodge fait souvent"froid dans le dos " tant il y a à voir des horreurs passés du temps des khmers rouges ! C'est courageux d aller voir tout ça. ...En espérant que vous voyez aussi de belles choses et que vous faites de belles rencontres - comme mentionné. Bises et bonne continuation.
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